• Donner à l’activité, spécialement au devoir d’état, tout le temps et toutes les énergies qu’exige son parfait accomplissement. Même le souci de garder la présence de Dieu ou de réserver pour Dieu seul une partie de ses forces ne saurait être un motif suffisant pour dérober à la tâche qui nous est imposée une partie des énergies physiques ou intellectuelles qu’elle requiert.
    •Le problème étant résolu de notre vocation et par conséquent de nos devoirs d’état, toute discussion devient inutile sur la valeur en soi de tel ou tel acte, sur l’excellence de la contemplation ou de l’action. La vocation nous place dans un ordre relatif qu’elle commande et qui devient de ce fait pour nous, le meilleur. Les actes qu’elle impose deviennent pour nous les plus sanctifiants.

Je veux voir Dieu, t° 379

  • 10 minutes d’oraison ? Ou 15?
    • Couper la télé?
    • Attendre 5 minutes pour mettre la radio en voiture? Pour consulter mon smartphone?
    • Ce soir: offrir à mon âme un espace sans sollicitation sonore ou visuelle inutile?
    • Pour les modalités, créativité et sens du possible!